«Tout ce que nous n’avons pas
à la naissance et dont nous avons besoin
lorsque nous sommes plus âgés, nous est donné par l'éducation. Cette
formation vient de la nature, des
personnes ou par des choses », Jean Jacques Rousseau
J’ai choisi comme sujet pour le projet de recherche de la
fin de semestre le thème: « Qui est responsable de l'éducation? ». Au
cours du projet, je regarde et j'essaie de suivre tous les étapes de la construction méthodologique de
la recherche, idées
que je vais
les soutenir par des propres exemples.
Pour parler des responsables de l’éducation, je pense qu'il est important de savoir ce qui est vraiment l’éducation et quel est
le mécanisme que chaque acteur doit
suivre pour prendre les meilleures décisions, pour pouvoir parler d’une vraie éducation.
Toujours en Roumanie post-communiste,
la phrase de « responsable de l'éducation » a été
souvent utilisé et les gens ont placé leurs espoirs dans
ceux qui ont suivi, car il a toujours
été la réalisation d'un « avenir
meilleur ».
Le sujet
principal de la recherche c’est l’éducation elle-même et aussi, les
autres facteurs qui sont assez importants pour ce mécanisme générateur des
situations différentes, entre les deux pôles : l’éducation d’une part et les personnes qui se basent sur
les questions de l’éducation de l’autre. De même, le
titre annonce depuis le début ce que je veux traiter dans les pages suivantes.
Ainsi, comme quéstion de depart, je
vais utiliser
le titre de mon exposé, en ajoutant quelques mots clés : Qui est
responsable de l'éducation, la famille, l’école ou l’individu lui- même? En ce
qui concerne la problématique du projet, je peux
affirmer que la mentalité est celle qui contribue à la compréhension de l'éducation. Parfois, le processus d'apprentissage se base
seulement sur ce qui l’individu a vu dans sa famille ou ce qu’il a appris
pendant les années scolaires. D’autre part, la volonté de l’individu c’est une
partie très importante dans tout ce mécanisme. Ayant comme base d’étude les
trois facteurs : famille, école, individu, je peux soutenir l’hypothèse
suivante : vivre dans
un monde démocratique, nous
pouvons utiliser toute une
série de mécanismes qui
vont aider notre éducation. Tenant compte de ce qu’on peut utiliser, la famille
reste comme une éducation de préambule, école fixera les connaissances de base et nous, les individus sommes les pièces de
base pour la construction de l’éducation et du développement personnel.
Pour démontrer le niveau dans lequel
les hommes se situent quand il s’agit d'être éduqué, je vais fixer
une structure sur laquelle la recherche sera exposée. L’analyse succesive des «
effets de structure » permet
d’apprécier, tout en restant à un niveau descriptif, comment se perpétuent
certains mécanismes générateurs de l’amélioration de l'éducation, à quel niveau
ils se situent et dans quel sens ils évoluent. Les variables indépendantes/variables
dépendantes ont un
rôle important pour la problémtique de la recherche, en termes d’évolution dans le temps. On peut
souligner le fait que la variable dépendante c’est
l’éducation,
qui représente un
processus visant à s’améliorer par les variables indépendantes:
la famille, l’école, l’individu. De plus, même l’individu est une variable dépendante car il est celui qui se
développe, se change, s’éduque pendant toute la vie.
Si
on parle de ce qui signifie le concept de l’éducation au niveau
globale, on peut affirmer que « l’enseignement et de l’apprentissage peuvent offrir une
matière de choix pour une obervation des phénoménes
tangibles qui définissent au jour le jour les identités. De même l’enseignement
et l’apprentissage conduisent très vite à aborder tout à la fois les notions de
norme et l’image de soi, dans un processus conscient ou inconscient, où se
transmettent et se façonnent les identités[1]
». Par cette
affirmation, l’image de soi représent en fait, notre identité qui se forme
après avoir traversé des normes, des processus de transformation de
l’apprentissage. L’enseignement est le livre d’or de chaque d’entre nous, c’est
la définition de chaque individu, c’est comme une voie de l'accumulation des connaissances de toute la
vie. Quand on pense au mot de l’éducation, on peut s’imaginer une personne, un
groupe de personnes ou des pratiques qui visent des fonctions très bien établis
en matière des processus d’éducation. Pour cela, il existe premièrement la
famille, puis on passe à la deuxième étape représentée par l’école. En ce qui
concerne l’éducation faite à l’école, il y a plusieurs acteurs influençant le
facteur de la décision : le gouvernement, le ministre de l’Éducation, les
conseils scolaires, les conseillers scolaires, les directrices et les
directeurs de l’école, le personnel enseignant, les élèves, les parents, les
conseils de l’école ou l’Office de la qualité
et de la responsabilité en éducation[2].
Dans ce partie, on peut voir que les parents et les élèves sont aussi
importants dans le processus de l’éducation. Ainsi, on peut souligner l’idée
que l’individu doit êre présent pendant toute la période de l’éducation. Il
doit offrir une grande volonté pour pouvoir améliorer la capacité de
l’éducation et d’autre part, c’est à lui la façon dont il veut continuer dans
le reste de la vie.
L’éducation est
chargée de préparer l'homme comme un élément actif de la vie sociale. Platon définit l'éducation
comme « l'art de former de bonnes habitudes ou de
développer des compétences à la vertu natif de ceux qui les
ont ». Aristote, dans
son ouvrage « La Politique », estime que
« l'éducation doit être un objet d'un
contrôle public et non privé ».
Avoir une bonne éducation signifie avoir une bonne conduite, être capable de
prendre des décissions importantes, suivre un chemin dans la vie et avoir des
priorités très bien établies. Par l’éducation, les individus peuvent se définir
comme étant des vrais citoyens d’une nation, des personnes qui peuvent lutter
pour leurs idéaux, des acteurs de la société civile qui peuvent améliorer la
situation des autres. «Pour
pouvoir gagner leur place dans le monde du travail et dans la société, les
enfants et les jeunes doivent faire preuve non seulement de solides
connaissances fondamentales, mais aussi de compétences psychosociales afin de
pouvoir se débrouiller dans la vie et d’être autonomes une fois parvenus à
l’âge adulte[3] ». L’affirmation souligne le fait que
pour pouvoir prendre tout ce que l’éducation nous offre, on doit avoir une base
des connaissances, un esprit qui peut être amélioré, une mentalité permissive pour obtenir les
résultats souhaités.
La famille représente la base qui nouse offre les
connaissances les plus importantes pour commencer la lutte avec la vie. C’est
très important pour l’enfant d’être éduqué dans un environnement favorable, avec des exemples
qui peuvent aider dans la construction de leur avenir. De même, cette
importance vient aussi du fait que les enfants connaissent premièrement les
habitudes familiales, des compétences qui fonctionnent comme un initiateur dans la vie. On
peut soutenir l’idée que la famille c’est la fondatrice par les responsables de
l’éducation. Elle fera, au plus tard, la liaison pour l’école et aussi pour les
autres secteurs de la vie dans lesquels les enfants doivent faire face. De
plus, c’est la famille celle qui peut influencer l’enfant et celle qui fait une
base de consolidation pour les enseignements de la vie.
Au
moment quand on rencontre l'expression « les sept
ans de la maison », on peut avoir
des différentes perceptions en ce qui concerne la vraie réalité de cette
syntagme. Pour moi, elle est construite par deux grands pôles: les parents et les
enfants. Maintenant, je ne sais pas de quel côté doit peser plus, si vous deviez prendre l'exemple de cas réels, et pas seulement ce qui peut être
synonyme de l'expression. Il existe de
nombreux exemples où les parents
fournissent une bonne éducation,
une bonne croissance et aussi un développement pour l’avenir.
Dans la plupart des cas, les
résultats -les enfants- ne
sont pas ce qui devrait être et par cela, je veux dire que certaines personnes méritent de construire un avenir et prendre des décisions par eux-mêmes.
Il y a la version dans laquelle on peut rencontrer des gens
incroyables à travers ce qu’ils font et ce qu’ils pensent. Ces personnes ont souvent augmenté dans
des familles pauvres ou ils n'ont
pas eu la joie de prendre des
exemples à suivre des leurs
parents. Il y a toujours des exceptions à la règle
et la vice versa. L'extérieur c’est
seulement ce qui peut nous influencer,
mais les actes et les mots sont les
questions dont on a besoin pour le développement de notre éducation.
Passant à la deuxième étape de l'éducation, on peut affirmer que l’école c’est l’espace
dans lequel nous nous définissons comme des gens, comme des gens capables de prendre des décisions et de construire notre propre vie. Les connaissances acquises seront mieux mis en œuvre par des pratiques, par des
situations dans lequelles les jeunes peuvent mettre en pratique ce qu'ils ont appris pendant la période
de l’enseignement. Cette affirmation peut être soutenue par des exemples
très claires du monde dans lequel nous vivons. Après la
formation de l’école, nous devons être capables de trouver un emploi sur le marché du travail parce que, après tout, l’éducation d’un jeune
adolescent émergera de ce qu'il fait dans la vie sociale. « Mais la pratique n'est pas pour tout le monde une solution très
simple, son organisation n'est pas compliqué juste pour l'université, mais aussi pour les
institutions de recherche,
les entreprises, les organisations non gouvernementales
et aussi pour l'administration publique qui reçu les étudiants[4] ». Pour réussir sur le marché de travail il est besoin de plusieurs
compétences, d’un esprit développé, mais aussi on doit compter sur le fait que nous sommes la bonne
personne au bon endroit.
Les responsables de l’éducation dans la phase d’être éduqué par l’école sont
aussi les politiciens parce que c’est dans leurs mains ce qui représente la loi
de l’enseignement, les décissions qui sont prises par tous et aussi les mesures
imposés par eux; cette catégorie étant connue comme les élites politiques de
chaque pays. Pour parler des élites politiques, je pense qu'il est important de savoir ce qui est vraiment
une élite politique et quel est le mécanisme que chacune de ces personnes doivent suivre pour prendre les meilleures
décisions pour la nation qu'ils représentent. Dans une analyse que je l’ai faite, j’ai voulu
de comparer la formation professionnelle des chefs des comités du Parlement roumain et
l’activité dans le domaine où ils travaillent actuellement (dans la législature 2008-2012). Les élites politiques sont
les personnes les plus remarquables d'une nation sur les épaules qui, normalement, devraient
se situer les décisions les plus difficiles pour ce qui est à
venir. Selon les
données recueillies après de diverses
conférences et des réactions des citoyens,
ils s'attendent que les élites politiques doivent être des personnes « ouverts d'esprit, technocrates dégivrages, des jeunes qui ont
parcouru l'Ouest[5]». Donc, les gens veulent
du changement, ils veulent être représentés et plus que cela, ils
donnent leur meilleur intérêt vers la jeune génération.
Nous entendons dans les discours parlementaires ou plus, même dans les confessions des citoyens que
« la jeune génération est celle qui importe, dans la jeune génération nous avons mis tous les espoirs et la jeune génération
est ce que nous voulons soutenir ».
Cependant, se heurtent souvent à la situation dans laquelle un jeune diplômé veut postuler
pour un emploi et à chaque fois, la
réponse est la même : « nous
recherchons des personnes ayant de l'expérience ». Conformément à la Constitution, les citoyens
ont le droit de voter et pourtant,
il y a des gens qui fuient citant cette responsabilité, en disant que
les parties actuelles attirent très difficile l’élite professionnelle,
les
mécanismes internes de promotion donnent bientôt
des chances aux images supprimées, mais
très bien reliés[6].
Mihail Neamţu, homme politique et essayiste, Ph.D. à l’Université de Londres
a déclaré dans une écriture personnelle que « les élites professionnelles existent et elles sont nécessaires. Toute
société ordonnée reconnaît le mérite
et l'excellence. La classe « élite » ne doit pas contenir le
segment des snobs ou seulement des imaginés. Inversement, les personnes
d'élite sont conscients de leurs propres limites, de désir d'amélioration et du
sentiment de gratitude envers le
meilleur»[7]. En outre, le vrai homme de l’élite politique cherchera toujours à se joindre à la
jeunesse pour enrichir leur patrimoine personnel, de rester toujours connecté à la vie et à
ses besoins. Il est également l'affirmation selon laquelle
la plupart des politiciens sont pris en
charge par les entreprises, mais l’homme qui représent l’élite politique doit être un homme qui sait
ce que parmi ses mesures et actions, il
doit assurer la sécurité et le bien-être non seulement
pour le moment. Non seulement pour le moment, mais pour les générations futures parce que
un projet de loi reste disponible pour
tous ceux qui seront nés dans ce pays. L’élite politique ne peut pas
manquer du gouvernement d’un pays et ne peut pas être oubliée.
Dans un éditorial du professeur Ion Bulei, at-il dit: « L'histoire est en fait une succession des élites. C'est un cimetière d'aristocraties. Qu'est-ce qui se passe avec
les élites? Sont attaqués de deux
façons: par l'accumulation des individus inférieurs dans les
classes supérieures et par l'accumulation des individus supérieurs dans les classes inférieures. Les élites ont étaient toujours. Les masses font l'histoire. Les masses
mouvent l’histoire, mais la direction du mouvement, ses objectifs donnent les élites. Les idées font bouger le monde. Et
les idées donnet les élites[8] ». D'autre part, dans son livre sur les élites
politiques et la société,
Stelian Tǎnase a tenu une conférence sur ce sujet, en disant qu’il est en désaccord avec la vision de Marx sur les
élites : « Marx disait que les
masses font l’histoire. N'est pas vrai, pas les masses font l'histoire, mais les élites. Les masses seulement
consomment. Les élites font, créent l’histoire, tout
comme ils créent la technologie,
les affaires, l'art. Où les élites ont
eu un dialogue où elles ont négocié,
la stabilité politique, et - par
conséquent, économique était
de plus.[9] »
La plupart du temps nous nous sommes demandés si nous sommes représentés comme il se doit et si ces gens qui gardent nos droits et libertés savent comment jouer a
besoin des meilleurs projets de loi. Tout d'abord, on doit toujour tenir compte de la nécessité d'un processus dans lequel chaque
conscience se rendre compte si
c’est l'homme qu'il faut à la
bonne place, s'il sait quels sont les besoins des habitants de la région du son secteur ou s’il a des connaissances pour les mettre en pratique. La
plupart des législateurs considérent
qu’un lieu de député ou de sénateur
peut assurer leur propre sécurité pendant près de quatre ans. Il y a des gens
qui savent vraiment tient à souligner
les vœux des citoyens et aussi, de les faire connaître en séances plénières. Peut-être ceux-ci devraient être les élites politiques, les
personnes qui nous respectent et qui nous font confiance
qu'ils sachent comment se battre pour
l'égalité des droits avec dignité. En
outre, il est important de noter la
façon dont les élites politiques sont
choisis et s'ils remplissent exactement
le modèle imposé. Souvent, les
présidents des commissions parlamentaires arrivent à être
choisi après négociations entre les parties impliquées dans la formation du gouvernement et non pas après une analyse détaillée de l'expérience professionnelle. Nous voulons tous des médecins de renom
dans la commission pour la santé et des
enseignants extraordinaires dans la commissions
de l’éducation, mais on
voit, dans de nombreux cas, que les
désirs ne sont pas exactement
remplies et il y a des divergences pour
certains politiciens, entre ce qu’ils
sont vraiment à la basé sur ce
que et ce qu'ils veulent faire semblant pour des
millions de citoyens de la Roumanie. Comme j’ai déjà
mentionné, dans un étude fait sur les élites politiques en ce qui concerne leur
éducation, j’ai été surprise quand j’ai constaté qu’au cours des dix comités parlamentaires se sont réunis des profils
analysés avec des véritable élites
politiques (à quelques exceptions près). Cela signifie que l’éducation
universitaire a joué un rôle décisif dans la formation professionelle. Peut-être que leurs parcours a été
influencé par le profil académique dont ils sont décidés à suivre.
En ce qui me
concerne, même si la plupart des personnes qui nous représentent sont des
personnes qui ont des bases d’éducation très visibles, je peux affirmer que
l'éducation en Roumanie est l'un des points de grand intérêt et nécessite une approche
approfondie car les problèmes dans l'éducation roumaine montre situations désastreuses,
un inconvénient réel pour tous ceux qui s'intéressent à cet aspect.
Pour soutenir cette affirmation, on peut très vite nous rappeler
les résultats du baccalauréat au cours des dernières années. Nous vivons
dans un pays où les méthodes
d'enseignement ont évolué, la pratique commence à
doubler les théories, on a aussi des enseignants bien préparés, mais les capacités des jeunes en ce qui concerne
l’éducation ne sont pas assez louables. Peut-être que beaucoup
d'entre nous, on blâme seulement
les enseignants pour les résultats médiocres au cours des dernières
années et d'autres, les élèves et les
étudiants qui ne présentent pas le
même intérêt de l’ancienne pour les matériaux d'étude, pour les enseignants
ou pour les institutions de l'Etat. Mais, quant à moi, je crois que tous ces problèmes sont dus à une mauvaise collaboration entre les deux centres, en leurs ajoutant le manque de respect et
des règles de conduite, l’affaiblissant de soi-même et du bien commun, mais aussi
l’orientation vers des activités qui conduissent vers la
détérioration de la personnalité et
de ceux qui les entourent.
L’éducation par des compétitions,
des stages, par des possibilités de travailler avec des personnes réelles redonnent l’espoir
et la confiance que les jeunes sont
appréciés et qu'un jour, ils peuvent à leur tour faire partager un peu de leur culture
avec d'autres intéressés par l'avenir de leur pays et par l'avenir des générations futures. Tout au long de l'histoire, l'éducation
a démontré le rôle vital pour le développement
de la civilisation, la culture humaine, afin
d'accroître l'ordre et la rationalité
dans la vie sociale, à cultiver les valeurs spirituelles et ainsi lui conférer un statut élevé de la condition humaine.
Dernièrement, nous voyons des
citoyens qui se concentrent uniquement sur l’accumulation
d’un grand nombre des diplômes. Pour eux, l'éducation est
constituée d'un ensemble de certificats obtenus à partir de diverses participations et pas
même de l'apprentissage. « La croissance du
besoin de spécialisation pédagogique a lieu en même temps avec le développement professionnel, selon Max Weber,
parce que les structures administratives qui se multiplient ont besoin du
personnel. Donc, cette spécialisation peut être traduite par la chasse des diplômes et par la recherche d'un certain statut[10] ». Peut-être que pour la plupart, l’éducation ne signifie
pas ce que tu peux offrir aux autres, les concepts nouveaux à partir desquels
tu peux construir des idéaux, le concept de l’éducation veut ainsi, se traduire
seulement par un dossier avec plusierus papiers qui peuvent devenir des simple
feuilles, sans avoir une valoir éducative.
Même si l’éducation
peut être traitée par plusieurs points de vue, on peut constater qu’au niveau
éducationnel de la Roumanie, notre pays a été toujours représentée avec dignité
sur les scènes universitaires du monde. On
peut souligner ce fait en disant qu’il y a les points avec une grande valeur,
des situations qui ont conduit la Roumanie aux plus hauts sommets et qui
ont fait de notre pays une
société « savante » et appréciée
aux niveaux européen et mondial. La
volonté du jeune Romain, la capacité et l'intelligence,
la force de travailler et de s'adapter à
n'importe quelle situation, ont construit le profil parfait d'un élève/étudiant qui a
toujours été apprécié
pour ses mérites. Bien que la
Roumanie est confrontée à une situation
délicate, il ya des gens qui essaient de tirer à terre ce qui
reste et reconstruire notre
éducation. Notez qu'il y a de plus en
plus des campagnes, d'ONGs dans
divers domaines, des associations où les questions
de gestion ou de l'administration du
pays sont discutées par des jeunes, ce
qui signifie qu'ils veulent être impliqués activement dans la vie éducative.
La première étape essentielle vers une bonne éducation est constituée par
l’attitude dont le système éducatif et les jeunes doivent la prendre: ils
devraient être plus patients, responsables de ce qu'ils font parce que de cette manière, on
peut créer une société dans laquelle la mentalité pourra
changer les choses pour le mieux, une société qui sait
comment réagir face à des circonstances
différentes.
Dans notre époque, on doit faire face au sphère de la technologie qui a occupé
presque toute la vie des citoyens. « Aujourd'hui,
Internet, les réseaux locaux, les présentations multimédias, les logiciels
interactifs et une foule d'autres applications sont de plus en plus courants
quoique pas encore usuels. La technologie transforme l'éducation de fond en
comble[11] ».
Les livres, aller à
la bibliothèque ou simplement la rencontre des amis dans le parc sont maintenant,
les synonimes de l’Internet et de tous les programmes qu’on peut les utiliser au
détriment de la vieille éducation. C’est à nous de choisir le
chemin de notre éducation et aussi, l’éducation d’autres peutr être liée du
notre modèle.
Comme une conclusion, je peux constater que la quéstion
de depart «
Qui est responsable de l'éducation, la famille, l’école ou l’individu lui-
même? » représente la réponse du projet. On n’est pas
capable de devenir des vrais citoyens seulement avec l’éducation qui est gagné
dans la famille ou seulement avec celle de l’école. Comme je l’ai mentionné
dans l’hypothèse, on
vit dans un monde démocratique, nous pouvons utiliser toute une série de mécanismes qui vont aider notre
éducation. Tenant compte de ce qu’on peut utiliser, la famille reste comme une éducation de préambule, école fixera les connaissances de base et
nous, les individus sommes les pièces de base pour la construction de
l’éducation et du développement personnel.
Bibliographie:
Livres:
·
Claudia
Maria UDRESCU, Universitate şi politicã
în România postcomunistã, editura Universitãţii din Bucureşti, 2011, p. 25;
·
Lavinia
Bârlogeanu, Identité et
globalisation, Editura
Educaţia 2000+, Bucarest, 1-3 juin 2005, p. 25;
·
Mihaela
LAMBRU, Sociolog pe piaţa muncii,
editura Institutului European, Iasi, 2012, p. 93-94.
Articles:
·
Jacobs Foundation, Paysages éducatifs en
Suisse, Qui est responsable de
l’éducation de nos enfants?;
·
Mihail
NEAMŢU, Politica româneascǎ şi elitele
profesionale, http://www.contributors.ro/fara-categorie/politica-romaneasca-și-elitele-profesionale/,
consulté le 10 avril;
·
România nu are elite politice
la conducere?, Sondage, http://forum.realitatea.net, consulté le 10
avril;
·
Prix du Premier ministre pour
l’excellence dans l’enseignement: La
technologie: amie ou ennemie?, http://www.ic.gc.ca/eic/site/pmate-ppmee.nsf/fra/wz01091.html,
consulté le 10 avril.
Video – conférence
·
Stelian TÃNASE, Nu
masele fac istoria, ci elitele. Masele
doar o consumă., Video
– conférence sur les élites et société, http://www.ebihoreanul.ro, consulté le 10
avril.
Sites :
Youtube :
[1] Lavinia Bârlogeanu, Identité et globalisation,
Editura Educaţia 2000+, Bucarest, 1-3 juin 2005, p. 25.
[3] Jacobs Foundation, Paysages
éducatifs en Suisse, Qui est responsable
de l’éducation de nos enfants?.
[4] Mihaela LAMBRU, Sociolog pe piaţa muncii, editura Institutului
European, Iasi, 2012, p. 93-94.
[5] Mihail NEAMŢU, Politica româneascǎ şi elitele profesionale, http://www.contributors.ro/fara-categorie/politica-romaneasca-și-elitele-profesionale/, consulté le 10 avril.
[6] România nu are elite politice la conducere?, Sondage, http://forum.realitatea.net, consulté le 10
avril.
[7] Mihail NEAMŢU, Politica româneascǎ şi elitele profesionale, http://www.contributors.ro/fara-categorie/politica-romaneasca-și-elitele-profesionale/, consulté le 10
avril.
[9] Stelian TÃNASE, Nu masele fac istoria, ci elitele. Masele doar o consumă., Video – conférence sur les
élites et société, http://www.ebihoreanul.ro, consulté le 10 avril.
[10] Claudia Maria UDRESCU, Universitate şi politicã în România
postcomunistã, editura Universitãţii din Bucureşti, 2011, p. 25.
[11] Prix du Premier ministre pour
l’excellence dans l’enseignement: La
technologie: amie ou ennemie?, http://www.ic.gc.ca/eic/site/pmate-ppmee.nsf/fra/wz01091.html, consulté le 10 avril.
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