joi, 25 aprilie 2013

Qui est responsable de l'éducation ?



«Tout ce que nous n’avons pas à la naissance et dont nous avons besoin lorsque nous sommes plus âgés, nous est donné par l'éducation. Cette formation vient de la nature, des personnes ou par des choses », Jean Jacques Rousseau

J’ai choisi comme sujet pour le projet de recherche de la fin de semestre le thème: « Qui est responsable de l'éducation? ». Au cours du projet, je regarde et j'essaie de suivre tous les étapes de la construction méthodologique de la recherche, idées que je vais les soutenir par des propres exemples.
Pour parler des responsables de l’éducation, je pense qu'il est important de savoir ce qui est vraiment l’éducation et quel est le mécanisme que chaque acteur doit suivre pour prendre les meilleures décisions, pour pouvoir parler d’une vraie éducation. Toujours en Roumanie post-communiste, la phrase de « responsable de l'éducation » a été souvent utilisé et les gens ont placé leurs espoirs dans ceux qui ont suivi, car il a toujours été la réalisation d'un « avenir meilleur ».
Le sujet principal de la recherche c’est l’éducation elle-même et aussi, les autres facteurs qui sont assez importants pour ce mécanisme générateur des situations différentes, entre les deux pôles : l’éducation d’une part et les personnes qui se basent sur les questions de l’éducation de l’autre. De même, le titre annonce depuis le début ce que je veux traiter dans les pages suivantes.
Ainsi, comme quéstion de depart, je vais utiliser le titre de mon exposé, en ajoutant quelques mots clés : Qui est responsable de l'éducation, la famille, l’école ou l’individu lui- même? En ce qui concerne la problématique du projet, je peux affirmer que la mentalité est celle qui contribue à la compréhension de l'éducation. Parfois, le processus d'apprentissage se base seulement sur ce qui l’individu a vu dans sa famille ou ce qu’il a appris pendant les années scolaires. D’autre part, la volonté de l’individu c’est une partie très importante dans tout ce mécanisme. Ayant comme base d’étude les trois facteurs : famille, école, individu, je peux soutenir l’hypothèse suivante : vivre dans un monde démocratique, nous pouvons utiliser toute une série de mécanismes qui vont aider notre éducation. Tenant compte de ce qu’on peut utiliser, la famille reste comme une éducation de préambule, école fixera les connaissances de base et nous, les individus sommes les pièces de base pour la construction de l’éducation et du développement personnel.
Pour démontrer le niveau dans lequel les hommes se situent quand il s’agit d'être éduqué, je vais fixer une structure sur laquelle la recherche sera exposée. L’analyse succesive des « effets de structure »  permet d’apprécier, tout en restant à un niveau descriptif, comment se perpétuent certains mécanismes générateurs de l’amélioration de l'éducation, à quel niveau ils se situent et dans quel sens ils évoluent. Les variables indépendantes/variables dépendantes ont un rôle important pour la problémtique de la recherche, en termes d’évolution dans le temps. On peut souligner le fait que la variable dépendante c’est l’éducation, qui représente un processus visant à s’améliorer par les variables indépendantes: la famille, l’école, l’individu. De plus, même l’individu est une variable dépendante car il est celui qui se développe, se change, s’éduque pendant toute la vie.
Si on parle de ce qui signifie le concept de l’éducation au niveau globale, on peut affirmer que « l’enseignement et de l’apprentissage peuvent offrir une matière de choix pour une obervation des phénoménes tangibles qui définissent au jour le jour les identités. De même l’enseignement et l’apprentissage conduisent très vite à aborder tout à la fois les notions de norme et l’image de soi, dans un processus conscient ou inconscient, où se transmettent et se façonnent les identités[1] ». Par cette affirmation, l’image de soi représent en fait, notre identité qui se forme après avoir traversé des normes, des processus de transformation de l’apprentissage. L’enseignement est le livre d’or de chaque d’entre nous, c’est la définition de chaque individu, c’est comme une voie de l'accumulation des connaissances de toute la vie. Quand on pense au mot de l’éducation, on peut s’imaginer une personne, un groupe de personnes ou des pratiques qui visent des fonctions très bien établis en matière des processus d’éducation. Pour cela, il existe premièrement la famille, puis on passe à la deuxième étape représentée par l’école. En ce qui concerne l’éducation faite à l’école, il y a plusieurs acteurs influençant le facteur de la décision : le gouvernement, le ministre de l’Éducation, les conseils scolaires, les conseillers scolaires, les directrices et les directeurs de l’école, le personnel enseignant, les élèves, les parents, les conseils de l’école ou l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation[2]. Dans ce partie, on peut voir que les parents et les élèves sont aussi importants dans le processus de l’éducation. Ainsi, on peut souligner l’idée que l’individu doit êre présent pendant toute la période de l’éducation. Il doit offrir une grande volonté pour pouvoir améliorer la capacité de l’éducation et d’autre part, c’est à lui la façon dont il veut continuer dans le reste de la vie.
L’éducation est chargée de préparer l'homme comme un élément actif de la vie sociale. Platon définit l'éducation comme « l'art de former de bonnes habitudes ou de développer des compétences à la vertu natif de ceux qui les ont ». Aristote, dans son ouvrage « La Politique », estime que « l'éducation doit être un objet d'un contrôle public et non privé ». Avoir une bonne éducation signifie avoir une bonne conduite, être capable de prendre des décissions importantes, suivre un chemin dans la vie et avoir des priorités très bien établies. Par l’éducation, les individus peuvent se définir comme étant des vrais citoyens d’une nation, des personnes qui peuvent lutter pour leurs idéaux, des acteurs de la société civile qui peuvent améliorer la situation des autres. «Pour pouvoir gagner leur place dans le monde du travail et dans la société, les enfants et les jeunes doivent faire preuve non seulement de solides connaissances fondamentales, mais aussi de compétences psychosociales afin de pouvoir se débrouiller dans la vie et d’être autonomes une fois parvenus à l’âge adulte[3] ». L’affirmation souligne le fait que pour pouvoir prendre tout ce que l’éducation nous offre, on doit avoir une base des connaissances, un esprit qui peut être amélioré, une mentalité permissive pour obtenir les résultats souhaités.
La famille représente la base qui nouse offre les connaissances les plus importantes pour commencer la lutte avec la vie. C’est très important pour l’enfant d’être éduqué dans un environnement favorable, avec des exemples qui peuvent aider dans la construction de leur avenir. De même, cette importance vient aussi du fait que les enfants connaissent premièrement les habitudes familiales, des compétences qui fonctionnent comme un initiateur dans la vie. On peut soutenir l’idée que la famille c’est la fondatrice par les responsables de l’éducation. Elle fera, au plus tard, la liaison pour l’école et aussi pour les autres secteurs de la vie dans lesquels les enfants doivent faire face. De plus, c’est la famille celle qui peut influencer l’enfant et celle qui fait une base de consolidation pour les enseignements de la vie.
Au moment quand on rencontre l'expression « les sept ans de la maison », on peut avoir des différentes perceptions en ce qui concerne la vraie réalité de cette syntagme. Pour moi, elle est construite par deux grands pôles: les parents et les enfants. Maintenant, je ne sais pas de quel côté doit peser plus, si vous deviez prendre l'exemple de cas réels, et pas seulement ce qui peut être synonyme de l'expression. Il existe de nombreux exemples où les parents fournissent une bonne éducation, une bonne croissance et aussi un développement pour l’avenir. Dans la plupart des cas, les résultats -les enfants- ne sont pas ce qui devrait être et par cela, je veux dire que certaines personnes méritent de construire un avenir et prendre des décisions par eux-mêmes. Il y a la version dans laquelle on peut rencontrer des gens incroyables à travers ce qu’ils font et ce qu’ils pensent. Ces personnes ont souvent augmenté dans des familles pauvres ou ils n'ont pas eu la joie de prendre des exemples à suivre des leurs parents. Il y a toujours des exceptions à la règle et la vice versa. L'extérieur c’est seulement ce qui peut nous influencer, mais les actes et les mots sont les questions dont on a besoin pour le développement de notre éducation.
Passant à la deuxième étape de l'éducation, on peut affirmer que l’école c’est l’espace dans lequel nous nous définissons comme des gens, comme des gens capables de prendre des décisions et de construire notre propre vie. Les connaissances acquises seront mieux mis en œuvre par des pratiques, par des situations dans lequelles les jeunes peuvent mettre en pratique ce qu'ils ont appris pendant la période de l’enseignement. Cette affirmation peut être soutenue par des exemples très claires du monde dans lequel nous vivons. Après la formation de l’école, nous devons être capables de trouver un emploi sur le marché du travail parce que, après tout, l’éducation d’un jeune adolescent émergera de ce qu'il fait dans la vie sociale. « Mais la pratique n'est pas pour tout le monde une solution très simple, son organisation n'est pas compliqué juste pour l'université, mais aussi pour les institutions de recherche, les entreprises, les organisations non gouvernementales et aussi pour l'administration publique qui reçu les étudiants[4] ». Pour réussir sur le marché de travail il est besoin de plusieurs compétences, d’un esprit développé, mais aussi on doit compter sur le fait que nous sommes la bonne personne au bon endroit. Les responsables de l’éducation dans la phase d’être éduqué par l’école sont aussi les politiciens parce que c’est dans leurs mains ce qui représente la loi de l’enseignement, les décissions qui sont prises par tous et aussi les mesures imposés par eux; cette catégorie étant connue comme les élites politiques de chaque pays. Pour parler des élites politiques, je pense qu'il est important de savoir ce qui est vraiment une élite politique et quel est le mécanisme que chacune de ces personnes doivent suivre pour prendre les meilleures décisions pour la nation qu'ils représentent. Dans une analyse que je l’ai faite, j’ai voulu de comparer la formation professionnelle des chefs des comités du Parlement roumain et l’activité dans le domaine où ils travaillent actuellement (dans la législature 2008-2012). Les élites politiques sont les personnes les plus remarquables d'une nation sur les épaules qui, normalement, devraient se situer les décisions les plus difficiles pour ce qui est à venir. Selon les données recueillies après de diverses conférences et des réactions des citoyens, ils s'attendent que les élites politiques doivent être des personnes « ouverts d'esprit, technocrates dégivrages, des jeunes qui ont parcouru l'Ouest[5]». Donc, les gens veulent du changement, ils veulent être représentés et plus que cela, ils donnent leur meilleur intérêt vers la jeune génération. Nous entendons dans les discours parlementaires ou plus, même dans les confessions des citoyens que « la jeune génération est celle qui importe, dans la jeune génération nous avons mis tous les espoirs et la jeune génération est ce que nous voulons soutenir ». Cependant, se heurtent souvent à la situation dans laquelle un jeune diplômé veut postuler pour un emploi et à chaque fois, la réponse est la même : « nous recherchons des personnes ayant de l'expérience ». Conformément à la Constitution, les citoyens ont le droit de voter et pourtant, il y a des gens qui fuient citant cette responsabilité, en disant que les parties actuelles attirent très difficile l’élite professionnelle, les mécanismes internes de promotion donnent bientôt des chances aux images supprimées, mais très bien reliés[6].
Mihail Neamţu, homme politique et essayiste, Ph.D. à l’Université de Londres a déclaré dans une écriture personnelle que « les élites professionnelles existent et elles sont nécessaires. Toute société ordonnée reconnaît le mérite et l'excellence. La classe « élite » ne doit pas contenir le segment des snobs ou seulement des imaginés. Inversement, les personnes d'élite sont conscients de leurs propres limites, de désir d'amélioration et du sentiment de gratitude envers le meilleur»[7]. En outre, le vrai homme de l’élite politique cherchera toujours à se joindre à la jeunesse pour enrichir leur patrimoine personnel, de rester toujours connecté à la vie et à ses besoins. Il est également l'affirmation selon laquelle la plupart des politiciens sont pris en charge par les entreprises, mais l’homme qui représent l’élite politique doit être un homme qui sait ce que parmi ses mesures et actions, il doit assurer la sécurité et le bien-être non seulement pour le moment. Non seulement pour le moment, mais pour les générations futures parce que un projet de loi reste disponible pour tous ceux qui seront nés dans ce pays. L’élite politique ne peut pas manquer du gouvernement d’un pays et ne peut pas être oubliée. Dans un éditorial du professeur Ion Bulei, at-il dit: « L'histoire est en fait une succession des élites. C'est un cimetière d'aristocraties. Qu'est-ce qui se passe avec les élites? Sont attaqués de deux façons: par l'accumulation des individus inférieurs dans les classes supérieures et par l'accumulation des individus supérieurs dans les classes inférieures. Les élites ont étaient toujours. Les masses font l'histoire. Les masses mouvent l’histoire, mais la direction du mouvement, ses objectifs donnent les élites. Les idées font bouger le monde. Et les idées donnet les élites[8] ». D'autre part, dans son livre sur les élites politiques et la société, Stelian Tǎnase a tenu une conférence sur ce sujet, en disant qu’il est en désaccord avec la vision de Marx sur les élites : « Marx disait que les masses font l’histoire. N'est pas vrai, pas les masses font l'histoire, mais les élites. Les masses seulement consomment. Les élites font, créent l’histoire, tout comme ils créent la technologie, les affaires, l'art. Où les élites ont eu un dialogue elles ont négocié, la stabilité politique, et - par conséquent, économique était de plus.[9] »
La plupart du temps nous nous sommes demandés si nous sommes représentés comme il se doit et si ces gens qui gardent nos droits et libertés savent comment jouer a besoin des meilleurs projets de loi. Tout d'abord, on doit toujour tenir compte de la nécessité d'un processus dans lequel chaque conscience se rendre compte si c’est l'homme qu'il faut à la bonne place, s'il sait quels sont les besoins des habitants de la région du son secteur ou s’il a des connaissances pour les mettre en pratique. La plupart des législateurs considérent qu’un lieu de député ou de sénateur peut assurer leur propre sécurité pendant près de quatre ans. Il y a des gens qui savent vraiment tient à souligner les vœux des citoyens et aussi, de les faire connaître en séances plénières. Peut-être ceux-ci devraient être les élites politiques, les personnes qui nous respectent et qui nous font confiance qu'ils sachent comment se battre pour l'égalité des droits avec dignité. En outre, il est important de noter la façon dont les élites politiques sont choisis et s'ils remplissent exactement le modèle imposé. Souvent, les présidents des commissions parlamentaires arrivent à être choisi après négociations entre les parties impliquées dans la formation du gouvernement et non pas après une analyse détaillée de l'expérience professionnelle. Nous voulons tous des médecins de renom dans la commission pour la santé et des enseignants extraordinaires dans la commissions de l’éducation,  mais on voit, dans de nombreux cas, que les désirs ne sont pas exactement remplies et il y a des divergences pour certains politiciens, entre ce qu’ils sont vraiment à la basé sur ce que et ce qu'ils veulent faire semblant pour des millions de citoyens de la Roumanie. Comme j’ai déjà mentionné, dans un étude fait sur les élites politiques en ce qui concerne leur éducation, j’ai été surprise quand j’ai constaté qu’au cours des dix comités parlamentaires se sont réunis des profils analysés avec des véritable élites politiques (à quelques exceptions près). Cela signifie que l’éducation universitaire a joué un rôle décisif dans la formation professionelle. Peut-être que leurs parcours a été influencé par le profil académique dont ils sont décidés à suivre.
En ce qui me concerne, même si la plupart des personnes qui nous représentent sont des personnes qui ont des bases d’éducation très visibles, je peux affirmer que l'éducation en Roumanie est l'un des points de grand intérêt et nécessite une approche approfondie car les problèmes dans l'éducation roumaine montre situations désastreuses, un inconvénient réel pour tous ceux qui s'intéressent à cet aspect. Pour soutenir cette affirmation, on peut très vite nous rappeler les résultats du baccalauréat au cours des dernières années. Nous vivons dans un pays où les méthodes d'enseignement ont évolué, la pratique commence à doubler les théories, on a aussi des enseignants bien préparés, mais les capacités des jeunes en ce qui concerne l’éducation ne sont pas assez louables. Peut-être que beaucoup d'entre nous, on blâme seulement les enseignants pour les résultats médiocres au cours des dernières années et d'autres, les élèves et les étudiants qui ne présentent pas le même intérêt de l’ancienne pour les matériaux d'étude, pour les enseignants ou pour les institutions de l'Etat. Mais, quant à moi, je crois que tous ces problèmes sont dus à une mauvaise collaboration entre les deux centres, en leurs ajoutant le manque de respect et des règles de conduite, l’affaiblissant de soi-même et du bien commun, mais aussi l’orientation vers des activités qui conduissent vers la détérioration de la personnalité et de ceux qui les entourent.
L’éducation par des compétitions, des stages, par des possibilités de travailler avec des personnes réelles redonnent l’espoir et la confiance que les jeunes sont appréciés et qu'un jour, ils peuvent à leur tour faire partager un peu de leur culture avec d'autres intéressés par l'avenir de leur pays et par l'avenir des générations futures. Tout au long de l'histoire, l'éducation a démontré le rôle vital pour le développement de la civilisation, la culture humaine, afin d'accroître l'ordre et la rationalité dans la vie sociale, à cultiver les valeurs spirituelles et ainsi lui conférer un statut élevé de la condition humaine.
Dernièrement, nous voyons des citoyens qui se concentrent uniquement sur ​​l’accumulation d’un grand nombre des diplômes. Pour eux, l'éducation est constituée d'un ensemble de certificats obtenus à partir de diverses participations et pas même de l'apprentissage. «  La croissance du besoin de spécialisation pédagogique a lieu en même temps avec le développement professionnel, selon Max Weber, parce que les structures administratives qui se multiplient ont besoin du personnel. Donc, cette spécialisation peut être traduite par la chasse des diplômes et par la recherche d'un certain statut[10] ». Peut-être que pour la plupart, l’éducation ne signifie pas ce que tu peux offrir aux autres, les concepts nouveaux à partir desquels tu peux construir des idéaux, le concept de l’éducation veut ainsi, se traduire seulement par un dossier avec plusierus papiers qui peuvent devenir des simple feuilles, sans avoir une valoir éducative.
Même si l’éducation peut être traitée par plusieurs points de vue, on peut constater qu’au niveau éducationnel de la Roumanie, notre pays a été toujours représentée avec dignité sur les scènes universitaires du monde. On peut souligner ce fait en disant qu’il y a les points avec une grande valeur, des situations qui ont conduit la Roumanie aux plus hauts sommets et qui ont fait de notre pays une société « savante » et appréciée aux niveaux européen et mondial. La volonté du jeune Romain, la capacité et l'intelligence, la force de travailler et de s'adapter à n'importe quelle situation, ont construit le profil parfait d'un élève/étudiant qui a toujours été apprécié pour ses mérites. Bien que la Roumanie est confrontée à une situation délicate, il ya des gens qui essaient de tirer à terre ce qui reste et reconstruire notre éducation. Notez qu'il y a de plus en plus des campagnes, d'ONGs dans divers domaines, des associations où les questions de gestion ou de l'administration du pays sont discutées par des jeunes, ce qui signifie qu'ils veulent être impliqués activement dans la vie éducative. La première étape essentielle vers une bonne éducation est constituée par l’attitude dont le système éducatif et les jeunes doivent la prendre: ils devraient être plus patients, responsables de ce qu'ils font parce que de cette manière, on peut créer une société dans laquelle la mentalité pourra changer les choses pour le mieux, une société qui sait comment réagir face à des circonstances différentes.
Dans notre époque, on doit faire face au sphère de la technologie qui a occupé presque toute la vie des citoyens. « Aujourd'hui, Internet, les réseaux locaux, les présentations multimédias, les logiciels interactifs et une foule d'autres applications sont de plus en plus courants quoique pas encore usuels. La technologie transforme l'éducation de fond en comble[11] ». Les livres, aller à la bibliothèque ou simplement la rencontre des amis dans le parc sont maintenant, les synonimes de lInternet et de tous les programmes qu’on peut les utiliser au détriment de la vieille éducation. C’est à nous de choisir le chemin de notre éducation et aussi, l’éducation d’autres peutr être liée du notre modèle.
Comme une conclusion, je peux constater que la quéstion de depart « Qui est responsable de l'éducation, la famille, l’école ou l’individu lui- même? » représente la réponse du projet. On n’est pas capable de devenir des vrais citoyens seulement avec l’éducation qui est gagné dans la famille ou seulement avec celle de l’école. Comme je l’ai mentionné dans l’hypothèse, on vit dans un monde démocratique, nous pouvons utiliser toute une série de mécanismes qui vont aider notre éducation. Tenant compte de ce qu’on peut utiliser, la famille reste comme une éducation de préambule, école fixera les connaissances de base et nous, les individus sommes les pièces de base pour la construction de l’éducation et du développement personnel.


Bibliographie:
Livres:
·         Claudia Maria UDRESCU, Universitate şi politicã în România postcomunistã, editura Universitãţii din Bucureşti, 2011, p. 25;
·         Lavinia Bârlogeanu, Identité et globalisation, Editura Educaţia 2000+, Bucarest, 1-3 juin 2005, p. 25;
·         Mihaela LAMBRU, Sociolog pe piaţa muncii, editura Institutului European, Iasi, 2012, p. 93-94.


Articles:

·         Jacobs Foundation, Paysages éducatifs en Suisse, Qui est responsable de l’éducation de nos enfants?;
·         Mihail NEAMŢU, Politica româneascǎ şi elitele profesionale, http://www.contributors.ro/fara-categorie/politica-romaneasca-și-elitele-profesionale/, consulté le 10 avril;
·         Ion BULEI, Elita politicã modernǎ a românilor, Editoral, www.mapn.ro, consulté le 10 avril;
·         România nu are elite politice la conducere?, Sondage,  http://forum.realitatea.net, consulté le 10 avril;
·         Prix du Premier ministre pour l’excellence dans l’enseignement: La technologie: amie ou ennemie?, http://www.ic.gc.ca/eic/site/pmate-ppmee.nsf/fra/wz01091.html, consulté le 10 avril.

Video – conférence
·         Stelian TÃNASE, Nu masele fac istoria, ci elitele. Masele doar o consumă., Video – conférence sur les élites et société, http://www.ebihoreanul.ro, consulté le 10 avril.

Sites :

Youtube :






[1] Lavinia Bârlogeanu, Identité et globalisation, Editura Educaţia 2000+, Bucarest, 1-3 juin 2005, p. 25.
[3] Jacobs Foundation, Paysages éducatifs en Suisse, Qui est responsable de l’éducation de nos enfants?.
[4] Mihaela LAMBRU, Sociolog pe piaţa muncii, editura Institutului European, Iasi, 2012, p. 93-94.
[5] Mihail NEAMŢU, Politica româneascǎ şi elitele profesionale, http://www.contributors.ro/fara-categorie/politica-romaneasca-și-elitele-profesionale/, consulté le 10 avril.

[6] România nu are elite politice la conducere?, Sondage,  http://forum.realitatea.net, consulté le 10 avril.
[7] Mihail NEAMŢU, Politica româneascǎ şi elitele profesionale, http://www.contributors.ro/fara-categorie/politica-romaneasca-și-elitele-profesionale/, consulté le 10 avril.
[8] Ion BULEI, Elita politicã modernǎ a românilor, Editoral, www.mapn.ro, consulté le 10 avril.
[9] Stelian TÃNASE, Nu masele fac istoria, ci elitele. Masele doar o consumă., Video – conférence sur les élites et société, http://www.ebihoreanul.ro, consulté le 10 avril.
[10] Claudia Maria UDRESCU, Universitate şi politicã în România postcomunistã, editura Universitãţii din Bucureşti, 2011, p. 25.
[11] Prix du Premier ministre pour l’excellence dans l’enseignement: La technologie: amie ou ennemie?, http://www.ic.gc.ca/eic/site/pmate-ppmee.nsf/fra/wz01091.html, consulté le 10 avril.

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