Si l'on pense d'une période de
l’instabilité
et de la déliquescence du pouvoir soviétique, nous
nous dirigeons toujours vers la période qui se
déroule entre le 18 et le 21 août 1991, connue sur le nom de putsch de Moscou.
L’événement, qui a eu lieu lors que le secrétaire général du parti communiste d’Union Soviétique,
Mikhaïl Gorbatchev était en vacances en Crimée, a pris la forme d'un coup d’État. Ainsi, dans
l’absence du secrétaire général du parti communiste, un
comité d’État pour l’état d’urgence essaya de prendre le pouvoir à Moscou. Plus que son
absence, est la nomination du vice-président, Gennadi Ianaïev, comme
président par intérim. Le nouveau gouvernement est vu comme assez étrange parmi
les citoyens, même si dans sa composition, les hommens ont eu beaucoup d’expérience.
On doit mentionner que le coup d’État était possible sous le pouvoir des communistes
conservateurs qui ont avait comme raison
principal, le programme des réformes de Gorbatchev. Pour
eux, l’actuel président était en
faveur des républiques composant l'URSS. Même si les communists conservateurs
viennent vite au pouvoir, le coup d'État échoua en trois jours et Mikhaïl Gorbatchev reviendra au pouvoir. D’autre part,
même s’il est revenu, il va quitter son poste de secrétaire général du PCUS,
mais il restera Président de l’Union Soviétique. Le nouveau program politique
se limite en ce qui tient du conservateurs, et sa promesse reste de purger tous
les conservateurs.
En ce qui concerne les États Baltes,
on peut mentionner la reconnaissance immédiate de leur indépendance et l’évacuation
des bâtiments occupés par l’armée soviétique. Avec cette grande reconnaissance,
ont peut parler facilement de la fin de la dictature communiste. Le putsch
de Moscou est la conséquence du conflit de décembre
1990, quand la démission d’E.Chevarnadze annonçait l’arrivée de la dictature.
G.Ianaev, vice-président de l’U.R.S.S, qui arrive au
pouvoir, décide de remplacer M.Gorbatchev dans ses fonctions, en prétextant une
incapacité de ce dernier "pour raison de santé"[1].
Pour avoir l’assurance que toutes ses
décisions seront
celles qui vont diriger le pays, il avait fondé un Comité d’Etat
pour l’état d’urgence (G.K.T.P), composé par V.Krioutchkov, président du K.G.B,
de B.Pougo, ministre de l’intérieur, de D.Iazov, ministre de la défense et de
deux autres membres sans portefeuille ministerial.
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