marți, 29 mai 2012

OLP – Organisation pour la Libération de la Palestine


L’organisation a été fondée en 1954 et a eu comme but principal la création un d’un État palestinien indépendant. En outre, l’organisation a été créé à la première conférence arabe, sur un niveau élevé, à Caire. Le premier Congrès de l'OLP a eu lieu en Juin 1964, et a été adoptée par le Tribunal National Palestinien.
            L'OLP a été reconnue comme un mouvement de libération nationale par l'ONU et a reçu le titre d'observateur à l'ONU, par l’adoption de la résolution de l'Assemblée générale no. 3237, le 22 Novembre 1974. D’autre part, l’OLP est reconnue comme le seul représentant légitime du peuple palestinien, après avoir été reconnu par les 110 autres pays. OLP regroupe 21 organisations et groupes palestiniens, parmi lesquelles on peut mentionner : Al-Fatah, le Front Populaire pour la Libération de la Palestine, le Front Démocratique pour la Libération de la Palestine[1].
            En ce qui concerne le leadership de l’OLP et le mouvement palestinien, ils sont fournis par des organismes différents : le Conseil National Palestinien, qui se compose de 426 membres et sert un Parlement ; le Comité Exécutif de l'OLP, qui se compose de 15 membres, qui a la tâche de conduire l'activité actuel entre les sessions ; le Conseil Central de l’OLP qui se compose de 81 membres et coordonne les activités palestiniennes, entre les sessions générales.
            D’autre part, l’Organisation pour la libération de la Palestine a été fondée en tant qu'organisation faîtière, regroupant les mouvements d'insurrection palestiniens paramilitaires. Pour l’histoire de l’organisation, on doit mentionner que Arafat devient le leader de l'OLP en 1969, le transformant en une organisation typique de l'insurrection et le terrorisme et soutenu fortement par la plupart des Etats arabes et les Etats du bloc soviétique.  En outre, cette organisation cache plusieurs moments importants pendant les temps. OLP est expulsé de Jordanie en Septembre 1970, après une série d'attaques terroristes auxquelles l’armée jordanienne s’est opposée sanglante.
            En 1988, Arafat est reçu à l'Assemblée générale des Nations Unies, et il a déclaré la renonciation au terrorisme et reconnaître le droit d'Israël à exister ; l'OLP va se transformer en un mouvement politique. Les pays du bloc communiste se précipitent pour avoir une reconnaissance internationale, comme le représentant légitime du peuple palestinien. Les actes terroristes contre Israël se poursuivent par de petits groupes informelles de terroristes, avec des noms ad hoc, et en particulier par le groupe islamiste Hamas, d'inspiration iranienne[2].
                La Roumanie communiste a fortement soutenu l'OLP, même si elle était un groupe de terroristes. Il ya 20 ans, en Janvier 19, 1989, « Scânteia» un rapport sur la première page, en recevant l'un des vieux amis de Nicolae Ceausescu, Farouk Kaddoumi. Kaddoumi était, à cette époque, le chef du Département politique de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et il était venu à la Roumanie, avec une délégation de Palestiniens, comme émissaire de Yasser Arafat, président de la commission exécutif de l'OLP.
            « Le chef du Département Politique de l’OLP a exprimé ses remerciements et sa profonde gratitude de la direction de l'OLP, du Comité Exécutif Président de l'organisation, pour un soutien constant donné par le peuple roumain, par le président Nicolae Ceausescu, personnellement, pour la lutte du peuple palestinien, en ce qui concerne la position constante de la Roumanie, sur la résolution d’un problème politique au Moyen-Orient », écrit le journaliste du journal communiste roumain officiel du Parti[3].

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